Mincir autrement Le Bol d’Air Jacquier
Une oxygénation sans risques radicalaires pour un amaigrissement de qualité
Un nouvel allié pour accompagner la perte de poids, en respectant son corps et en modifiant durablement son métabolisme, quelle que soit la méthode adoptée.
De nombreuses études établissent une relation intime entre le surpoids et le manque d’oxygène de la cellule appelé Hypoxie.
Il existe différentes formes de surpoids (liée à une hypothyroïdie, à la ménopause, à une attirance anormale pour le sucre…) Les régimes alimentaires peuvent être adaptés à la personne afin que la perte de poids soit efficace et sans danger, mais surtout pour favoriser un amaigrissement durable, une bonne oxygénation cellulaire est indispensable.
Il y a de l’oxygène partout, certes, mais l’important est que cet oxygène soit à disposition de la cellule, ce qui est nettement plus problématique. Le stress et la pollution, le vieillissement lui-même, diminuent notre oxygénation et provoquent l’hypoxie (manque d’oxygène chronique de la cellule).
L’hypertension, l’athérosclérose, l’insulinorésistance, le surpoids, le diabète, l’obésité… s’accompagnent d’une hypoxie sans que l’on sache vraiment si ce manque représente une cause ou une conséquence des maladies métaboliques.
La première et plus importante propriété de l’oxygène est de contribuer à la production d’énergie à partir des aliments digérés.
Pour utiliser une mole de sucre (glucose), il faut 6 moles d’oxygène. Pour utiliser une mole de graisse (acide gras), il en faut… 29 !
Ce simple calcul mathématique explique les difficultés d’un organisme carencé en cet élément. Il commence par utiliser les voies métaboliques les moins gourmandes et consomme en priorité les sucres, puis des protéines (les muscle entre autre). Les graisses viennent en dernier, les capitons restent, les diètes alimentaires s’accompagnent de fatigue, voire d’anémie, même en cas d’apport alimentaire suffisant en fer.
Pratiquer de façon régulière une activité phyisique aérobie, pour diminuer l’adiposité sous-cutanée et intra-abdominale, ainsi que les risques cardio-vasculaires, et améliorer de manière sensible l’insulinorésistance, est souhaitable. Cependant pour que l’exercice physique entraîne la perte de masse grasse, il faut un effort prolongé, difficile, demandant une grande volonté et de l’endurance. C’est le plus souvent impossible (temps, pathologies articulaires, âge essoufflements). Les efforts sont décevants. La culpabilité engendre de la frustration voir des comportements alimentaires addictifs, de la boulimie. La fameuse crise de boulimie qui suit une diète hypocalorique !
C’est alors que le Bol d’Air, cette méthode d’oxygénation naturelle, sans risque radicalaire, fait merveille !
Retenez : Pour maigrir et consommer les graisses, il faut beaucoup plus d’oxygène que pour brûler les sucres : 5 fois plus d’02 pour brûler 1 gr de graisse que pour brûler 1 gr de sucre, pour seulement deux fois plus d’énergie (36 mol d’O2 contre 6)
Faire du bol d’air c’est avoir + énergie pour vivre au quotidien et toute l’énergie nécessaire pour brûler les graisses.
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